VOUS
(Oui, vous, derrière votre PC !)
Prénom : Fanny
Age : 17
Avez-vous lu Indiana Teller ? Oui, les deux premiers tomes
Où habitez-vous ? France
Est-ce votre premier forum RPG? : Pas du tout
VOTRE PERSO
Nom du perso : Hunter
Prénom du perso : Persephone
Surnom : Sephona
Sexe : Femme
Race : Loup-garou
Age du personnage : 19
Meute ou peuple : Teller
Métier : Chorniqueuse
Histoire : Commençons par le commencement. Je m'appelle Persephone Hunter, mais je préfère Sephona, c'est plus sympa, plus cool, et surtout moins mythologie grecque. Depuis toute petite, je vis dans le ranch des Teller. Ma mère est morte peu après ma naissance, d'une chose que les anglais appellent eclampsia, mais jamais mon père n'a pu m'expliquer concrètement ce que c'était.
Malgré cette absence, j'ai vécu une enfance heureuse, j'étais choyée par mon père. Surprotégée, pour avouer tout, jusqu'à ce que l'année de mes douze ans, il plonge dans une dépression intense et se noie dans l'alcool. Imaginez l'horreur : moi, une louve du clan Teller, il suffisait que je rentre dans la maison qu'on occuppait sur le ranch pour que mon nez soit torturé. A chaque fois, immanquablement, le salon sentait le vomi, et l'alcool fort, la transipiration, enfin, toutes les odeurs les plus horribles les unes que les autres. Mon père était généralement affalé sur la table, en train de ronfler, une bouteille à la main. Parfois même il était transformé, et là je n'avais plus qu'une solution : courir à toutes jambes le plus loin possible de lui. Evidemment, j'ai eu du mal à supporter ça. Je partais souvent loin du ranch, dans la forêt, dans la ville, enfin un peu partout tant que ça ne sentait pas le vomi. Imaginez un peu que vous rentriez chez vous avec le nez hypersensible des loup-garous, et que ça sente le vomi partout, que l'odeur soit tellement forte qu'elle emprègne vos vêtements. La joie de vivre, quoi. Le bonheur.
Non, je rigole, bien sûr. Ado, je passais le plus clair de mon temps dehors, je faisais le mur. Tout le temps. De toutes façons, je ne considérais plus tellement celui qui m'avait élevée comme mon père.
(à continuer)[/i]
Son aspect physique : Réponse (au moins 5 lignes complètes)
Description morale : Réponse (au moins 5lignes complètes)
Etes-vous le DC ou le TC d'un membre déjà présent sur le forum ? Si oui, de qui ? ?Noope
Si non, comment avez-vous connu le forum ? via Google
Auriez-vous des idées pour améliorer le forum ? Réponse
Exemple de RP : Réponse (vient d'un RPG Hunger Games
J'avance lentement dans la rue principale du district, mes copies serrées contre moi. La chaleur moite de cette fin d'après-midi pèse sur l'air, c'en est presque insupportable. On sent bien qu'il va y avoir un de ces orages mémorables du début de l'été.
La classe vient de se terminer, je suis aussi épuisée que les enfants et je ne songe qu'à une chose : rentrer chez moi pour prendre une douche glacée. Il faisait tellement chaud dans la salle que mes habits sont trempés de sueur, ils collent sur ma peau et pourtant, quand on sort dehors, un vent frais fait rouler les grains de poussière de la rue.
Je pince les lèvres quand je passe devant le poteau de flagellation, et les Pacificateurs m'adressent un signe de tête qui ne peut pas être plus glacial. Ils ne reconnaissent en moi que la fiancée de l'un des leurs, mais je m'en fiche. Le seul avantage est qu'ils sont moins brusques envers moi qu'envers n'importe-quel autre habitant du Dix, car Eliott a beaucoup d'influence su eux. Ils savent qu'il peut être cruel si ils s'en prennent à moi...
Je déglutis péniblement et je ne me permets de respirer à nouveau que lorsque je tourne au coin de la rue qui abrite ma maison, loin des Pacificateurs, de l'estrade de la Moisson et d'autres horreurs du Capitole.
Une fois devant chez moi, j'ouvre la porte avec une gymnastique étrange pour retrouver mes clés, et je me précipite à l'intérieur. La pénombre m'offre un soulagement égalant presque celui du gamin qui n'est pas tiré au sort pour les Hunger Games.
C'est avec cette même nonchalance, ce même soulagement d'avoir fini ma journée que je me suis réfugiée dans la pénombre de la cuisine. Avec un soupir d'aise, j'ai parcouru les meubles familiers, le four, l'évier de fonte brune.
C’EST PRESQUE FINI !
Code 1 :
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